La décadence
Ce texte s’adresse à tous, chrétiens, païens, athées, à toute personne qui cherche à savoir pourquoi notre société est décadente.
L’auteur de ce texte tiens à préciser qu’il est christien,
Malheur à la terre et à la mer! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps. Apo.12:12.
Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. Pi:5:8
Si le christien regarde la situation de l’Europe, dite de culture chrétienne, il constate qu’après la phase latente elle est entrée dans la phase active de décadence.
Comment en sommes-nous arrivé là ?
Durant les trois premiers siècles suivant la résurrection de Jésus le Christ, les chrétiens de l’Eglise, dite Paulinienne, ont vécu selon l’enseignement de l’évangile.
Au quatrième siècle, l’empereur Constantin intègre les chrétiens. Ainsi se fonde une nouvelle religion, qui mélange Evangile et croyances païennes.
La chrétienté Paulienne disparait.
L’Eglise romaine apparait.
Les chrétiens, qui vivaient en présence de Dieu sous la direction de l’Esprit-Saint et selon l’Evangile, subissent désormais l’obédience d’une organisation qui filtre les rapports entre Dieu et le croyant.
On y voit la même situation que les Hébreux après leur arrivée en Canaan.
Ils vivaient selon la Loi mosaïque, jusqu’au jour où ils voulurent un roi :
Maintenant, établis sur nous un roi pour nous juger, comme il y en a chez toutes les nations.
Ecoute leur voix, et établis un roi sur eux.
Comme les hébreux au temps de l'ancien Testament.
Les chrétiens au temps de la grâce ont préféré remettre leur sort entre les mains des hommes plutôt qu’en Dieu.
C'est moi qu'ils rejettent, afin que je ne règne plus sur eux.
(@) Pour les Hébreux, les conséquences ont été catastrophiques.
Pendant mille ans, hormis quelques rois qui ont régné avec la Loi, les autres se sont tournés vers les idoles, il s’ensuivit divisions, guerres, envahissements, esclavage, sécheresses, déportations, etc.
µ/ Qui ne respectait pas la loi était mis à mort.
Ø/ Après 14 siècles de vie sous la Loi et les prophètes,
Israël n’a pas trouvé la paix. car ils avaient foi en leur Loi.
Æ/ Dieu leur envoya son fils.
Ils n’ont pas compris le don qui leur était donné.
Ils l’ont tué car il n’observait pas leur Loi.
Œ/ Dieu les a dispersés dans le monde
(@) Pour les peuples soumis à L’Eglise pagano-chrétienne de Rome
Pendant quatorze siècles l’Eglise développa son emprise, d’abord sur toutes les conquêtes de l’empire romain, puis sur les conquêtes extérieures de l’Europe.
Sous son égide: guerres, disettes, épidémies, divisions: Orthodoxie, Catholicité, Protestantisme, Evangélisme, Méthodisme, etc. tant il est normal que toutes les doctrines qui n’appliquent pas la stricte observance de l’Evangile ne peuvent perdurer et disparaissent en une profusion de chapelles et de communautés, voire se sectes.
µ/ Qui contestait l’infaillibilité du pontifex maximus, était excommunié, ce qui était une sorte de mise à mort lente. Au gentilhomme hérétique et à la sorcière était réservé le bucher, châtiment plus convaincant et plus spectaculaire aux yeux d’un peuple ignare qui, ainsi, contemplait la puissance de l’Eglise sur les grands de ce monde.
L’hérétique qui persiste en sa doctrine sera condamné au bucher.
(C)
Ø/ Après 16 siècles de vie sous la Grâce.
L’Europe n’a pas trouvé la paix.
Dans sa grande miséricorde Dieu a gardé l’Europe dans sa main car, étant ignorants, ils avaient foi en leur Eglise.
Æ/ Dieu leur donna la paix.
Ils n’ont pas compris le don qui leur était donné.
Ils s’enorgueillirent de cette paix qu'ils croyaient être l’œuvre de leur intelligence.
Œ/ Dieu les fit tomber en décadence.
Enthousiasmés d’avoir créé la Pax Europa, ils décidèrent de l’immortaliser en créant une grande nation.
Pour ce faire ils instituèrent une monnaie unique.
C’est avec la monnaie qu’ils accouchèrent l'Europe, étant persuadés que le bonheur des peuples dépendait de la finance.
Ils établirent une constitution.
Le contenu de ce traité n’avait pas la bénédiction de Dieu, car il confirmait officiellement la négation de la culture chrétienne qui avait commencé au début du XX sièclepar la la¨cité.
La phase active débuta en mai 1968, révolution moderne qui enfanta une société nouvelle dont le principe directeur était:
Il est interdit d’interdire.
(4) Les commandements de Dieu étaient abrogés ; l’ère de la grâce étaient révolue.
Après maintes consultations les gouvernements aboutirent à un texte constitutionnel qui fut soumis à la réflexion et au vote de tous les peuples européens.
Tout citoyen, libre de tout parti-pris et ayant un minimum de logique, comprit, en le lisant, qu’un tel traité amphigourique ne pouvait fonctionner correctement.
Afin de lui donner une structure imposante, les promoteurs d’une l'Europe grandiose y ont inscrit le plus de pays possible, de telle sorte que chacun y entrait en spécifiant ses désidératas et ses particularités.
C’était une Europe patchwork.
Le traité préconisait des règles concernant toutes les activités de la vie sociale ; il s’ensuivit qu’une foule de dérogations furent accordées à qui en demandait, pourvu que le pays participe à cette séduisante Europe, qui, ainsi, naissait avec des éléments disparates qui rendait impossible la construction d’une maison habitable.
Pourtant les peuples le votèrent, sauf trois qui votèrent non.
Comment ! Voter non quand les élus disent qu’il faut dire oui ! On le leur fit bien voir. (Lafontaine)
Leurs chefs manipulèrent leurs lois, et les chefs votèrent selon leur bon plaisir.
Par cette action la république agonisante lançait son dernier râle.
La royauté élective était instituée.
Le roi nouveau est élu au suffrage universel !
Le roi nomme les princes qui forment sa cour.
Le prince nomme les ducs-préfets.
Le peuple élit, selon la décision des partis, les marquis-présidents de région, les comtes-députés, les barons-conseillés, les bannerets-maire, et autres chevaliers servants
La noblesse est reconstituée par la multitude des élus.
L’église réapparait sous la forme du fonctionnariat.
Le tiers-état est représenté par le peuple laborieux.
Le quart-état est représenté par le peuple assisté.
C’est ainsi que nous sommes entrés en décadence.
Le chien est retourné à ce qu'il avait vomi, (2Pierre.2 :22)
Voici comment nous y sommes parvenus. voyez : 2 rois : 17,6 à 17:23
1 / Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face.
Quel dieu ? Notre seul dieu est la science, n’a-t-elle pas prouvé qu’il n’y ait pas de dieu et qu’elle existe puisqu’elle nous donne le confort et le loisir. Elle nous fournit des machines qui nous servent et travaillent pour nous. Bientôt elle éliminera la vieillesse et nous resteront jeunes tant que nous marcherons sur cette planète.
Dieu est en nous.
La psychologie nous invite à le chercher et à trouver ses pouvoirs cachés afin que chacun puisse vivre pleinement sa vie.
Et voici de la gaîté et de la joie! On égorge des bœufs et l'on tue des brebis, On mange de la viande et l'on boit du vin: Mangeons et buvons, car demain nous mourrons! Es.22:13
2 / Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point.
Ce commandement a été supprimé par l´Eglise de Rome. Ce qui a permis de rendre les églises fascinantes par des statues, des décorations, des images devant lesquelles les croyants s’agenouillent et prient ces objets d’intercéder pour eux.
(-T-)
Ils veulent voir, toucher le saint qu'ils implorent.
Les superstitions sont le résultat du pouvoir magique accordé aux statues et aux diverses représentations consacrées par l'Eglise. Allons! Fais-nous un dieu qui marche devant nous, Ex.32:1
3 / Tu ne prendras point le nom de l'Eternel, ton Dieu, en vain,
Voilà un commandement particulièrement méprisé.
Chaque événement de la vie courante, est-il agréable ou douloureux, est marqué par une exclamation où le nom de Dieu apparaît. On entend sans cesse des personnes, qui ne croit pas en Dieu, répéter de tels jurons, parce qu``elles les entendent dans leur entourage.
Car l'Eternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain.
Peut-on vraiment croire que cette menace reste sans effet ?
4 / Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier.
La science réplique que ce qui dicte le ou les jours de repos sont nos corps et nos occupations. Chacun de nous est libre d’organiser sa vie et son travail comme il le veut afin de pouvoir jouir des jours de loisir.
5 / Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l'Eternel, ton Dieu, te donne.
Depuis qu’il y a des écoles dans le monde, les parents éduquaient les enfants et les professeurs les enseignaient.
Aujourd’hui, les enfants fréquentent « l’éducation nationale «. Les enfants ont ainsi deux éducateurs, c’est-à-dire qu’ils n’en ont aucun. La loi interdit de les corriger ainsi les enfants sont livrés à eux-mêmes; d’autant plus que la psychologie préconise de laisser l’enfant s'épanouir et découvrir qui il est. Il s’ensuit que les parents ne représentent plus l’autorité et sont considérés par leurs progéniture comme un personnel nourrisseur à leur disposition. Ne pensent-il pas : Nous n’avons pas demandé à naître, vous nous avez voulu, donc vous devez vous occuper de nous, nous élever et nous donner un salaire et tout ce que propose la publicité.
Ce commandement contient une bénédiction dont l’absence corrompt grandement leur vie et leur avenir.
6 / Tu ne commettras pas de meurtre
Ce commandement est universel. Les tribus, les clans, les hordes, les peuples primitifs qui se sont répandus sur la Terre, ont tous inscrit ce commandement dans leur loi.
Toutefois, notre civilisation a estimé qu’il y avait des degrés dans le meurtre.
Si un homme tue quelqu'un, on ôtera la vie au meurtrier,
Il en fut toujours ainsi au cours des temps passés.
Les meurtriers qui avaient prémédité leur acte étaient considérés comme des animaux sauvages qu’il fallait supprimer.
Notre culture a aboli la peine de mort, laquelle serait incompatible avec notre civilisation moderne qui prône l’indulgence envers les assassins et les tueurs en série auxquels qui il faut redonner une chance. !
Que chacun juge en son âme et conscience.
Cette mansuétude a édulcoré la notion de justice à un point tel que l’avortement est devenu un acte naturel,
(1)
légal, proposé comme celui d’extraire un kyste ou une tumeur, sans considération qu’en l’occurrence il s’agisse d’une vie.
(-S-)
Une civilisation qui tue ses enfants tuera ses vieillards.
Un tel consensus a dégradé la conscience collective envers la notion de vie et de mort. Tuer est devenu un jeu sur les consoles électroniques des enfants, des adolescents et des adultes immatures.
Le meurtre est une catégorie de films très prisée, on y voit des détectives, super intelligents, démasquer infailliblement le coupable, ce qui apaise la conscience populaire; ainsi le coupable étant puni, la société est purifiée et peut alors perdurer puisque le meurtrier, utilisé comme objet de loisir, a été châtié.
Si la grande majorité des européens évitent, étant superstitieux, de parler de la mort, les gouvernements s’en préoccupent beaucoup; car la maladie, les accidents du travail et de la circulation, ont un impact sur la production industrielle, donc sur les ressources de l’Etat.
Les commissions d’éthique palabrent sur ce sujet qui, selon leurs discours, nous laisse augurer l’euthanasie. Idée qui trottine dans la tête des financiers, d’autant plus allègrement que le grand prophète,
(-O-) selon son implacable logique, conseille la suppression de toutes les aides sociales, dépenses improductives ; suppression qui apporterait une grande économie et pourrait être beaucoup plus profitable à la construction de la machinité : le grand Eden promis depuis si longtemps par la science.
(-M-)
7 / Tu ne commettras point d'adultère.
L’enseignement, la presse, le cinéma, la télévision, la publicité, le vêtement, le cosmétique, la pharmacie, et autres entreprises, esquissent un sourire narquois à l’énoncé de ce commandement, car le sexe est devenu une industrie lucrative.
Il les rassembla, avec ceux du même métier, et dit: O hommes, vous savez que notre bien-être dépend de cette industrie.
Cette industrie ayant acquis une telle importance qu’il fallut légiférer.
Des lois ont été promulguées en fonction des différentes sortes de sexes : masculin, féminin, neutre, unisexe, monosexe, bisexe, multisexe, ambisexe, de sorte que chacune des minorités sexuelles jouissent de droits particuliers au pays de l’égalité.
L’adultère est devenu une pratique normale, un fait de société, un acte approuvé par quelques psychologues qui estiment qu’il est impossible de vivre une vie entière uni à un seul conjoint.
L’adultère, n’est plus reconnu par la loi, les infidélités ne sont que des escapades passagères, comme, avec un ami, on va dans un bistrot pour une partie de babyfoot.
Légalement la femme est maîtresse de son corps.
Ainsi, le mari qui se réjouit d’être père, le sera selon le bon vouloir de son épouse ; elle le lui donnera ou l’en privera selon son bon plaisir, et cela en toute légalité.
Au revers, la femme qui sera enceinte de son amant obligera légalement son mari à élever l’enfant qui n’est pas le sien, car la loi ne lui permet pas de savoir s’il est ou n’est pas le père.
Si Dieu avait jugé Gomorrhe à la mesure de sa patience et de sa miséricorde actuelle, elle n’aurait pas été réduite en cendres.
C'est pourquoi je vous le dis: au jour du jugement, le pays de Sodome sera traité moins rigoureusement que toi. Matthieu 11:24
8 / Tu ne déroberas point.
Le vol implique la propriété.
Une branche de la philosophie moderne déclare: “la propriété est un vol.”
Nouveau dilemme : propriétaire ou voleur ?
La propriété existe depuis le commencement de l’humanité. Elle a permis aux hommes de vivre ensemble et aux nations de prospérer. Même les animaux ont le sens de la propriété.
Aujourd’hui, la propriété a mauvaise réputation.
Le propriétaire subit des contraintes de plus en plus fortes ; pressions qui annoncent la disparition prochaine d’un concept venu du fond des âges. Bientôt la propriété sera abolie et remplacée par le collectivisme. Désirer ou posséder une chose sera sévèrement réprimé, un tel désir sera traité par la psychologie.
La propriété sera taxée d’hérésie, et sera expurgée comme le furent toute hérésie des temps anciens.
Nous n’en sommes pas là; il n’en saurait tarder.
Ce huitième commandement est encore quelque peu respecté, parce qu’il porte atteinte au citoyen, le prive d’une jouissance qui, en retour, l’incitait au travail donc à un salaire, donc à payer des impôts.
Néanmoins, le vol est un facteur de trouble. Le voleur, quand il est pris, est puni très inégalement, selon son âge et la région dans laquelle il est jugé.
Il arrive que le propriétaire soit tenu responsable d’avoir été volé, car son bien fut une tentation pour le malheureux voleur qui s’est fait prendre.
9 / Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.
Il est rare que l’on ait à témoigner devant la loi, donc une faible probabilité de témoigner au sens propre du terme, mais le faux témoignage signifie mensonge.
Le mensonge est inné, dès le plus jeune âge le petit d'homme sait mentir naturellement sans qu'il en soit enseigné.
Si durant les siècles passés, le mensonge était un motif de punition, aujourd’hui le mensonge est persona grata. Il est normal de mentir; qui dit la vérité est accusé d’extravagance, d’exhibitionnisme, de narcissisme et d’autres dénominations dont la psychologie a le secret.
La collectivité aime le beau mensonge, tout en feignant d’être choquée lorsqu’il est découvert.
Le mensonge a l’hypocrisie pour sœur jumelle.
En une telle conjoncture , les relations, tant privées que professionnelles, sont un lourd handicap pour les activités productives, ce qui affecte la richesse de la nation.
Le mensonge est un puissant facteur d’appauvrissement.
10 / Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.
Des commentateurs considèrent la convoitise comme étant le commandement le moins important car il ne concerne qu’un sentiment personnel et n’a pas d’effet sur la société, Ils se trompent en disant que ce commandement ne porte atteinte a personne. Hélas, si,
- / Il offense Dieu.
- / Parce que c’est un commandement qu’il nous a donné.
- / Parce que la convoitise est un reproche que nous faisons à Dieu, qui serait injuste en donnant plus à l’un qu’à l’autre, alors quele bonheur consiste à se satisfaire de ce que l’on possède.
- /Parce que la convoitise conduit au vol.
La société actuelle vit dans la convoitise, et chacun croit que le bonheur consiste à obtenir ce qu’il convoite. Ne serait-ce qu’au niveau de l’individu qui, pour flatter son orgueil aime à susciter la convoitise de son entourage.
La convoitise est exploitée par la publicité, laquelle profite de ce sentiment pour draguer la clientèle et la convaincre que tel produit est le meilleur et qu’il est indispensable pour vivre confortablement.
Un tel discours relève du neuvième commandement.
Par la publicité on vend des produits de bonne ou de mauvaise qualité, dont certains, rapidement hors d’usage, sont avantageux pour le commerce, mais appauvrit l’utilisateur, qui est aussi un citoyen, lequel, dupé, incrimine ses gouvernants, de ne pas le protéger.
Nous constatons
Que la décadence provient du rejet des lois qui ont été appliquées dans toutes les civilisations passées et présentes : chinoise, incas, babylonienne, assyrienne, romaine et toutes autres qui ont vécu et vivent sur cette planète en appliquant ces lois naturelles sans jamais avoir connu la loi mosaïque.
En instituant ces lois Dieu a fait le rappel d’un simple code de vie en société à un peuple sans loi qui sortait de l’esclavage.
Que lecteur soit chrétien, christien, agnostique ou athée, il se trouve devant une évidence : ces lois sont une base fondamentale de l’humanité. Leur rejet engendre une société dégénérescente .
Si, par ces dix commandements, Dieu a donné une loi aux hébreux ; Jésus a énoncé une loi qui la concentre totalement :
Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Mat.22;39
Si la pratique de l’amour du prochain était acceptée et appliquée par tous, il en résulterait une civilisation paisible et harmonieuse.
Que chacun s’imagine ce que serait une telle société, cela l’incitera, peut-être, à commencer par l’appliquer autour de lui.
Que chaque employé fasse son travail avec amour dans l’intérêt de l’entreprise.
Serviteurs, obéissez à vos maîtres selon la chair, avec crainte et tremblement, dans la simplicité de votre cœur, comme à Christ, non pas seulement sous leurs yeux, comme pour plaire aux hommes, mais comme des serviteurs de Christ, qui font de bon cœur la volonté de Dieu. Servez-les avec empressement, comme servant le Seigneur et non des hommes,
Que le chef d’entreprise dirige avec amour pour le bien des employés et pour le bien du pays dans lequel cette entreprise existe.
Et vous, maîtres, agissez de même à leur égard, et abstenez-vous de menaces, sachant que leur maître et le vôtre est dans les cieux, et que devant lui il n'y a point d'acception de personnes.
Que les parents élèvent leurs enfants avec amour et les éduquent à ce qu’il en soit de même lorsqu’ils seront adultes.
Et vous, pères, n'irritez pas vos enfants, mais élevez-les en les corrigeant et en les instruisant selon le Seigneur
Que les enfants aiment leurs parents et fassent avec joie ce qui leur est demandé.
Enfants, obéissez à vos parents, selon le Seigneur, car cela est juste. Honore ton père et ta mère c'est le premier commandement avec une promesse, afin que tu sois heureux et que tu vives longtemps sur la terre.
Que l’enseignant enseigne avec amour afin que les élèves aiment acquérir la connaissance.
Insiste en toute occasion, favorable ou non, reprends, censure, exhorte, avec toute douceur et en instruisant
Que les gouvernants, dans l’amour des citoyens, gouvernent avec sagesse et justice dans l’intérêt général, et non dans l’intérêt d’un parti ou d’un groupe quelconque.
Le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien.
Mais si tu fais le mal, crains; car ce n'est pas en vain qu'il porte l'épée, étant serviteur de Dieu pour exercer la vengeance et punir celui qui fait le mal. Il est donc nécessaire d'être soumis, non seulement par crainte de la punition, mais encore par motif de conscience. C'est aussi pour cela que vous payez les impôts. Car les magistrats sont des ministres de Dieu entièrement appliqués à cette fonction. Rendez à tous ce qui leur est dû: l'impôt à qui vous devez l'impôt, le tribut à qui vous devez le tribut, la crainte à qui vous devez la crainte, l'honneur à qui vous devez l'honneur. Ne devez rien à personne, si ce n'est de vous aimer les uns les autres; car celui qui aime les autres a accompli la loi.
Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant, et dont les princes mangent dès le matin!
Nous, qui, jusqu’à ce jour, avons eu une si grande imagination pour satisfaire notre bien-être et nos désirs personnels, utilisons cette imagination au profit du bien-être de notre prochain.
Conclusion
L’Europe, ses penseurs, ses inventions, ses techniques, sa culture, a été une lumière dans le monde. S'il est vrai que cette lumière n’a pas toujours brillé d’un éclat bienfaisant, elle a globalement et grandement amélioré la condition humaine où elle est intervenue.
J'ai tendu mes mains tout le jour vers un peuple rebelle et contredisant. Ez.33 :10
Elle est fière de ses sciences, de ses connaissances, de ses facultés et de ses machines merveilleuses qui apportent le confort; plus de travail sous la sueur, fini les courbatures, la fatigue et les longues semaines de labeur harassant.
Un président de la République Française, dans un discours, a dit :
“Le travail est pour les machines, le loisir est pour les hommes.”
Assurée de sa pérennité, l’intelligentzia européenne s’est convertie à l’hédonisme.
Nos transgressions et nos péchés sont sur nous, et c'est à cause d'eux que nous sommes frappés de langueur.
Ezékiel 33:10
Européens et européennes, revenons aux lois fondamentales de l’humanité, aux commandements de Dieu. Relisons l’Ancien Testament. Repentons-nous car l’Assyrien a déjà posé le pied sur l’Europe.
(omega)
Chères soeurs, chers frères, prions afin que nos gouvernements réinstituent les commandements de Dieu.
Amen
(-T-) Le tableau est un canal de la grâce de Dieu !!
Dixit Jean-Paul 2
(-A-) Il y a certainement, parmi toutes les Eglises dites chrétiennes, des chrétiens qui croient en Christ ; nous christiens nous sommes disciples de Jésus le Christ et nous avons la foi de Jésus.
Le chrétien est adepte d’une Eglise chrétienne; il suit les préceptes de son Eglise.
Le christien est adepte de l’Eglise spirituelle, il vit selon l’entière Parole de Dieu.
(-O-) Le super ordinateur.
(-M-) La machinité : une analogie avec humanité.
L’humanité est une société d’hommes.
La machinité est une société où les hommes et les machines se sont interpénétrés.
Dans la machinité, civilisation de loisir, les hommes sont nourris, habillés, soignés par les machines, lesquelles gouvernent et organisent tout dans l'intérêt général et pour la perduration du système.
La loi des machines y fait régner une justice inflexible.
(-C-) Le bucher est une condamnation à mort consistant à brûler vivant le condamné, qui est attaché à un pieu fiché en terre (l'estache). Le bois est le combustible, parfois complété par de la paille, du foin, de la poix, des cadavres de porc, de chat, etc.
Les corps des hérétiques étaient parfois offerts au Saint-Esprit.
Au sens religieux, le bûcher était conçu comme une « flamme bénie » ayant un aspect purifiant !
Le peuple aimait ce spectacle.
Le bucher était un feu de joie, et il leur était agréable de voir punir le mal, d’autant plus plaisant que la cérémonie de l’éradication du mal lui laissait croire que lui, le peuple, il agissait pour le bien.
(-S-)
Il y a une SPA (Société Protectrice des Animaux).
Car l'animal est défini comme "Un être vivant doué de sentiments."
Le propriétaire de l'animal n'a pas le droit de le tuer.
Il n'y a pas de SPF (Société Protectrice des fœtus)
Le fœtus n'est-il pas : "un être vivant doué de sentiments" ?
Les propriétaires du fœtus ont le droit de le tuer.
2 Rois : 17,6 à 2 Rois : 17:23
La neuvième année d'Osée, le roi d'Assyrie prit Samarie, et emmena Israël captif en Assyrie. Il les fit habiter à Chalach, et sur le Chabor, fleuve de Gozan, et dans les villes des Mèdes.
Cela arriva parce que les enfants d'Israël péchèrent contre l'Eternel, leur Dieu, qui les avait fait monter du pays d'Egypte, de dessous la main de Pharaon, roi d'Egypte, et parce qu'ils craignirent d'autres dieux.
Ils suivirent les coutumes des nations que l'Eternel avait chassées devant les enfants d'Israël, et celles que les rois d'Israël avaient établies.
Les enfants d'Israël firent en secret contre l'Eternel, leur Dieu, des choses qui ne sont pas bien. Ils se bâtirent des hauts lieux dans toutes leurs villes, depuis les tours des gardes jusqu'aux villes fortes.
Ils se dressèrent des statues et des idoles sur toute colline élevée et sous tout arbre vert.
Et là ils brûlèrent des parfums sur tous les hauts lieux, comme les nations que l'Eternel avait chassées devant eux, et ils firent des choses mauvaises, par lesquelles ils irritèrent l'Eternel.
Ils servirent les idoles dont l'Eternel leur avait dit: Vous ne ferez pas cela.
L'Eternel fit avertir Israël et Juda par tous ses prophètes, par tous les voyants, et leur dit: Revenez de vos mauvaises voies, et observez mes commandements et mes ordonnances, en suivant entièrement la loi que j'ai prescrite à vos pères et que je vous ai envoyée par mes serviteurs les prophètes.
Mais ils n'écoutèrent point, et ils roidirent leur cou, comme leurs pères, qui n'avaient pas cru en l'Eternel, leur Dieu.
(2) Ils rejetèrent ses lois, l'alliance qu'il avait faite avec leurs pères, et les avertissements qu'il leur avait adressés. Ils allèrent après des choses de néant et ne furent eux-mêmes que néant, et après les nations qui les entouraient et que l'Eternel leur avait défendu d'imiter. Ils abandonnèrent tous les commandements de l'Eternel, leur Dieu, ils se firent des veaux en fonte, ils fabriquèrent des idoles d'Astarté, ils se prosternèrent devant toute l'armée des cieux, et ils servirent Baal. Ils se livrèrent à la divination et aux enchantements, et ils se vendirent pour faire ce qui est mal aux yeux de l'Eternel, afin de l'irriter.
Aussi l'Eternel s'est-il fortement irrité contre Israël, et les a-t-il éloignés de sa face.
-Il n'est resté que la seule tribu de Juda.
Juda même n'avait pas gardé les commandements de l'Eternel, son Dieu, et ils avaient suivi les coutumes établies par Israël. -
L'Eternel a rejeté toute la race d'Israël; il les a humiliés, il les a livrés entre les mains des pillards, et il a fini par les chasser loin de sa face.
Car Israël s'était détaché de la maison de David, et ils avaient fait roi Jéroboam, fils de Nebath, qui les avait détournés de l'Eternel, et avait fait commettre à Israël un grand péché.
Les enfants d'Israël s'étaient livrés à tous les péchés que Jéroboam avait commis; ils ne s'en détournèrent point,
Jusqu'à ce que l'Eternel eût chassé Israël loin de sa face, comme il l'avait annoncé par tous ses serviteurs les prophètes. Et Israël a été emmené captif loin de son pays en Assyrie, où il est resté jusqu'à ce jour.
La neuvième année d'Osée, le roi d'Assyrie prit Samarie, et emmena Israël captif en Assyrie. Il les fit habiter à Chalach, et sur le Chabor, fleuve de Gozan, et dans les villes des Mèdes.
- Cela arriva parce que les enfants d'Israël péchèrent contre l'Eternel, leur Dieu, qui les avait fait monter du pays d'Egypte, de dessous la main de Pharaon, roi d'Egypte, et parce qu'ils craignirent d'autres dieux. Ils suivirent les coutumes des nations que l'Eternel avait chassées devant les enfants d'Israël, et celles que les rois d'Israël avaient établies.
Les enfants d'Israël firent en secret contre l'Eternel, leur Dieu, des choses qui ne sont pas bien. Ils se bâtirent des hauts lieux dans toutes leurs villes, depuis les tours des gardes jusqu'aux villes fortes.
(3) Ils se dressèrent des statues et des idoles sur toute colline élevée et sous tout arbre vert.
Et là ils brûlèrent des parfums sur tous les hauts lieux, comme les nations que l'Eternel avait chassées devant eux, et ils firent des choses mauvaises, par lesquelles ils irritèrent l'Eternel.
Ils servirent les idoles dont l'Eternel leur avait dit: Vous ne ferez pas cela.
L'Eternel fit avertir Israël et Juda par tous ses prophètes, par tous les voyants, et leur dit: Revenez de vos mauvaises voies, et observez mes commandements et mes ordonnances, en suivant entièrement la loi que j'ai prescrite à vos pères et que je vous ai envoyée par mes serviteurs les prophètes.
Mais ils n'écoutèrent point, et ils roidirent leur cou, comme leurs pères, qui n'avaient pas cru en l'Eternel, leur Dieu.
Ils rejetèrent ses lois, l'alliance qu'il avait faite avec leurs pères, et les avertissements qu'il leur avait adressés. Ils allèrent après des choses de néant et ne furent eux-mêmes que néant, et après les nations qui les entouraient et que l'Eternel leur avait défendu d'imiter.
(4) Ils abandonnèrent tous les commandements de l'Eternel, leur Dieu, ils se firent deux veaux en fonte, ils fabriquèrent des idoles d'Astarté, ils se prosternèrent devant toute l'armée des cieux, et ils servirent Baal.
(1) Ils firent passer par le feu leurs fils et leurs filles.
Ils se livrèrent à la divination et aux enchantements, et ils se vendirent pour faire ce qui est mal aux yeux de l'Eternel, afin de l'irriter. Aussi l'Eternel s'est-il fortement irrité contre Israël, et les a-t-il éloignés de sa face. -Il n'est resté que la seule tribu de Juda.
Juda même n'avait pas gardé les commandements de l'Eternel, son Dieu, et ils avaient suivi les coutumes établies par Israël. -
L'Eternel a rejeté toute la race d'Israël; il les a humiliés, il les a livrés entre les mains des pillards, et il a fini par les chasser loin de sa face.
Car Israël s'était détaché de la maison de David, et ils avaient fait roi Jéroboam, fils de Nebath, qui les avait détournés de l'Eternel, et avait fait commettre à Israël un grand péché.
Les enfants d'Israël s'étaient livrés à tous les péchés que Jéroboam avait commis; ils ne s'en détournèrent point,
jusqu'à ce que l'Eternel eût chassé Israël loin de sa face, comme il l'avait annoncé par tous ses serviteurs les prophètes. Et Israël a été emmené captif loin de son pays en Assyrie, où il est resté jusqu'à ce jour.
(omega) Le roi d'Assyrie fit venir des gens de Babylone, de Cutha, d'Avva, de Hamath et de Sepharvaïm,
et les établit dans les villes de Samarie à la place des enfants d'Israël.
Ils prirent possession de Samarie, et ils habitèrent dans ses villes.